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On les appelle « patients partenaires », « patients experts », « patients ressources ». Atteints d’une maladie chronique, mentale, d’un cancer, ils sont retournés sur les bancs de l’université pour se former puis mettre leur expérience au service d’autres malades. Leur popularité grandissante amorce-t-elle un changement dans le paysage médical français ? La Croix L’Hebdo est allé à leur rencontre à l’Institut du cancer de Montpellier.
Les maladies chroniques et le cancer gagnent du terrain : depuis les années 1990, le nombre de nouveaux cas de cancer a doublé en France et plus d’un tiers des Français déclarent une pathologie chronique et durable. Comment nos institutions médicales peuvent-elles faire face ? Faut-il plus de médecins, plus de moyens ? Sans doute. Peut-être aussi qu’une partie de la réponse est ailleurs. Plus de vingt ans après la loi Kouchner (2002), qui entendait faire du patient un acteur du système de santé, les malades peuvent se former en université pour en aider d’autres dans les hôpitaux, dans les cliniques. Ils participent aussi à la recherche et vont donner des cours aux étudiants en médecine. Pourtant, au sein du monde médical, le rôle de ces « patients partenaires », comme on les appelle, est encore méconnu ou négligé. À l’approche de la Journée mondiale de lutte contre le cancer, le 4 février, nous vous emmenons à la rencontre de celles et ceux qui, atteints par la maladie, ne veulent plus simplement être considérés comme le problème, mais faire partie de la solution.
Conversation : Clotilde Leguil, philosophe et psychanalyste
Long format : Patients partenaires, les nouveaux acteurs du soin
Pages weekend : La Bibliothèque de l’Arsenal rouverte à la visite
Récit graphique : Mikaël Corre et Bouqué, Anatomie d’un commissariat (épisode 5/10)