Paiement 100% sécurisé
Achetez en toute confiance
Livraison offerte
Pour les abonnements en France métropolitaine
Un service client à votre écoute
Lundi au vendredi de 8h30 à 19h
Garanti satisfait ou remboursé
Essayez, remboursement garanti
Une première visite historique en Corse, ce dimanche 15 décembre, plutôt que la réouverture très médiatisée de Notre-Dame, huit jours plus tôt. Comme souvent, le choix de François a surpris. La Croix L’Hebdo a enquêté en coulisses, à Rome et à Paris, pour mieux comprendre les raisons du pape argentin, et, plus largement, sa relation à la France, à la fois distante et intime.
« Ce pape nous déteste. » Ce 28 novembre, sur le plateau d’un talk-show, un ancien journaliste sportif s’énerve de l’absence de François à Paris pour la réouverture de Notre-Dame, interprétée par ce catholique pratiquant comme un manque de respect pour « la fille aînée de l’Église ». « La fille aînée de l’Église… mais pas la plus fidèle ! », riait le pape dans une interview à La Croix, en mai 2016, avant d’ajouter : « Il faut être juste avec la France. L’Église y possède une capacité créatrice. » Le rapport du pape à la France est complexe. À la différence de l’Allemagne et de l’Espagne – qu’il n’a jamais visités –, François vient le 15 décembre pour la troisième fois sur le sol français. Mais après s’être rendu à Strasbourg sans visiter la cathédrale en 2014 et être venu à Marseille « mais pas en France » en 2023, le 266e successeur de Pierre a choisi Ajaccio, et non Paris. Pourquoi ? Loin des caricatures, La Croix L’Hebdo a enquêté, en France et en Italie, pour comprendre ce que révèle son choix. Que pense véritablement le pape jésuite de notre pays ?
Conversation : Sandrine Kiberlain, actrice
Long format : Le pape et la France. Les clés d’un paradoxe
Pages weekend : Baptiste Chabauty dans les souliers de Claudel
Récit graphique : Salva Rubio et Eduardo Ocana, Viollet-le-Duc, l’homme qui ressuscita Notre-Dame (épisode 3/4)