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De jeunes amateurs passionnés de littérature, essentiellement des femmes, partagent avec leur communauté leurs coups de cœur littéraires et reprennent les codes des réseaux sociaux pour dépoussiérer la lecture.
Quel est le secret de ces nouveaux ambassadeurs du livre qui bousculent les pratiques de l’édition ?
La prescription littéraire a longtemps eu un visage, celui de Bernard Pivot. De 1975 à 1990, les libraires ont connu la ruée du samedi, au lendemain d’« Apostrophes », amenant une foule de curieux venus acheter les ouvrages recommandés dans l’émission. L’homme de lettres nous a quittés en mai dernier mais sa relève est bien là.
Elle prend notamment les traits d’une multiplicité d’anonymes qui partagent quotidiennement sur les réseaux sociaux, face caméra ou par écrit, leurs derniers coups de cœur littéraires.
L’enquête publiée cette année par le Centre national du livre a alerté sur la diminution du temps de lecture des 7-19 ans. Un constat que j’ai eu du mal à relier à la foule de jeunes croisés au Festival du livre de Paris, ce printemps, lestés de sacs remplis à craquer de livres en repartant.
Les réseaux sociaux ont-ils, paradoxalement, les clés pour donner goût à la lecture ? Avec quels outils ? Et quelle liberté ? Car, en réunissant des communautés de milliers de lecteurs en ligne, ce sont toutes les pratiques de l’édition qui sont chamboulées. Et, pour nous, lecteurs, une nouvelle manière d’aller vers les textes et de s’en délecter.
Conversation : Philippe Jost, président de l’établissement public Rebâtir Notre-Dame
Long format : Les Bernard Pivot des réseaux sociaux (avec une interview d’Augustin Trapenard)
Cas de conscience : Faut-il exprimer ses opinions politiques sur son lieu de travail ?
Ce qui nous lie : Récits d’hommes et de femmes confrontés à l’infertilité (2/8) : « On m’a dit que j’étais un ventre-cimetière »
Roman graphique : Edel Rodriguez, Worm. Une odyssée américano-cubaine (2/5)