Paiement 100% sécurisé
Achetez en toute confiance
Livraison offerte
Pour les abonnements en France métropolitaine
Un service client à votre écoute
Lundi au vendredi de 8h30 à 19h
Garanti satisfait ou remboursé
Essayez, remboursement garanti
Depuis le début de la guerre à Gaza, 17 000 petits Gazaouis ont été séparés de leur famille. Parmi eux, certains sont trop jeunes pour décliner leur identité. Sur le terrain, médecins et humanitaires s’activent pour retrouver les proches de ces « enfants des ruines ». Pendant trois mois, La Croix L’Hebdo a suivi un père de famille, Mohammed Labbad, jusqu’aux retrouvailles avec sa fille, Jana.
À Gaza, certains enfants se retrouvent privés d’identité. En cause : l’horreur de la guerre, qui sépare les familles et fabrique des orphelins. Ces gamins sont seuls, sans nom et sans qu’on sache si leurs proches sont encore en vie. Pendant des mois, Marie Boëton a enquêté sur le sujet, interrogeant des médecins gazaouis et plusieurs ONG. Au début de l’automne, elle a été mise en contact – via un photographe gazaoui – avec Mohammed Labbad, un père de famille cherchant ses deux enfants. Les deux petits se sont retrouvés privés d’identité à la suite d’un bombardement ayant dispersé la famille dans des hôpitaux distincts.
Marie Boëton a d’abord pensé que son cas illustrerait, avec d’autres, son dossier. Mais au fil de ses échanges vidéo avec Mohammed (Israël continue d’interdire aux journalistes l’accès à Gaza), elle s’est retrouvée, de fait, à l’aider dans ses recherches. Le dossier prévu initialement s’est mué en récit. Celui d’un papa fou d’angoisse à chaque nouveau bombardement ; d’une gamine traversant des paysages d’apocalypse entre deux camps de réfugiés ; d’humanitaires prêts à tout pour des enfants qu’ils ne croiseront qu’une fois dans leur vie. C’est, aussi, le récit de retrouvailles auxquelles, par moments, on ne croyait plus.
Conversation : Thomas Römer, bibliste
Long format : Les enfants sans nom de Gaza. Comment Mohammed a retrouvé sa fille
Pages weekend : Là où les icônes retrouvent leurs couleurs
Récit graphique : Salva Rubio et Eduardo Ocana, Viollet-le-Duc, l’homme qui ressuscita Notre-Dame (épisode 4/4)