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Nous connaissons tous dans notre entourage quelqu’un qui a a ffronté la mort au bout d’une longue maladie. Et nous savons combien le chemin est long et difficile pour celui ou celle qui s’en va comme pour ceux qui restent. Mais lorsqu’à la maladie vient s’ajouter la souffrance ou une forme de déchéance, comme la maladie d’Alzheimer qui s’attaque aux facultés mentales de la personne, alors nous ne pouvons nous empêcher de penser : où est la dignité de la personne quand elle n’est plus que sou ffrance, ou l’ombre d’elle-même ? Pourquoi maintenir en vie ce corps qui se tord de douleur en attendant l’issue fatale ? Et pourquoi vouloir « faire durer » ce vieillard qui ne sait plus rien ni de lui, ni des autres, ni du monde, qui a besoin de soins pour tout, qui ne s’alimente plus seul ?
Et s’il y a des petits-enfants, que garderont-ils comme image de ce grand-père ou de cette grand-mère ? Ainsi vont les questions qui nous habitent aujourd’hui. Elles sont légitimes.
Elles prouvent que nous nous soucions du sort de nos proches. Mais sont-elles bien posées ? Ne sont-elles pas aussi le reflet de nos peurs ?